Monday, July 02, 2007

Les apprentissages monstrueux, ou la haine enseignée aux enfants

Des petites filles inquiètes qui récitent leur leçon de mort.
Des garçons confiés à des adultes si pervers qu'ils les incitent au suicide et au meurtre.
Des corps déchiquetés ou mutilés pour modèles. Le mépris de la vie en leçon.
Depuis des années et des années, des enfants sont élevés dans la haine.
Silence presque unanime sur ces violences.
Le viol des consciences n'est pas un abus reconnu.
Les organisations internationales ignorent-elles que la Convention relative aux Droits de l'Enfant concerne tous les enfants du monde ?
Les enfants palestiniens en seraient-ils moins dignes ?
Derrière la complaisance, le mépris absolu. Il n'est pas nouveau.
On le retrouve chez de nombreux militants en occident.
Qu'importent les réalités aux défenseurs d'une 'cause'.
Le sujet est tabou. Sacrifier des enfants en les abandonnant à la folie haineuse des leurs, prix accepté pour pouvoir continuer de brandir son petit drapeau.
Les déviants des droits de l'homme contre les droits de l'enfant.
Une femme et des hommes témoignent.
Ce sont des bénévoles 'venus aider' et qui découvrirent la propagande.
Ils témoignent, dans un document vidéo. Il a été traduit en français par Pistache.
Il est présentée sur le site de l'UPJF qui publie également la transcription des interventions :...
Quand les yeux se dessillent.
Des bénévoles, abusés par la propagande palestinienne, témoignent - Par Menahem Macina

« Parmi les témoignages-choc qui figurent dans la vidéo transcrite ci-après, on retiendra surtout celui de Daril Jones, « bénévole australienne, qui, trompée par la propagande palestinienne, était venue aider les Palestiniens, et comprit, par la suite, qu’ils étaient comme possédés d’un désir irrépressible de tuer, au point de détruire des vies d’enfants.
Elle raconte, avec larmes, que des Palestiniens montraient [aux humanitaires] des photos de corps "mutilés, démembrés, déchiquetés", et affirmaient que c’était le résultat de "tortures perpétrées par les Israéliens".
Plus tard, quand elle vit un enfant palestinien se faire exploser devant elle, elle réalisa que [l’état des] cadavres mis en pièces [qu’elle avait vus sur les photos] était le résultat des corps bardés d’explosifs, que les Palestiniens utilisaient comme des bombes humaines contre les Israéliens.
Daril Jones a figuré dans le film "The road to Jenin" [la route de Jénine]*, réalisé par le cinéaste français, Pierre Rehov » (Note de YouTube).
Le chagrin émouvant de cette bénévole est à la mesure de l’horreur que lui ont causée la découverte de la culture, quasi mythique, de la haine, qui anime tant de Palestiniens, et l’immense déception qui fut la sienne de découvrir que les dirigeants de ce peuple non seulement ne font rien pour endiguer cette haine morbide, mais la célèbrent au contraire et la proposent en modèle à la jeune génération palestinienne.
Il faut diffuser largement ce document, non pour inciter à la haine des Palestiniens, mais pour aider les politiques et tous les hommes et les femmes de bonne volonté du monde à comprendre à quel fléau est confronté le peuple israélien, et à faire pression sur les dirigeants politiques palestiniens pour qu’ils répudient cet état d’esprit mortel et éduquent leur peuple, et surtout leurs enfants, à la paix et à la cohabitation entre les deux peuples qui se partagent la même terre, puisque, de toute façon, l’un comme l’autre n’ont pas d’autre choix. »




* Refusé par les télévisions françaises. Alors qu'un autre film, 'jénine, Jénine' est diffusé sans réserve. Voir l'article d'Aaron Kein publié par DesInfos.

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