Saturday, January 26, 2008

Petite plongée dans la benne à sociologues.


Si en 1935, la France avait eu la chance d’être doté d’un machin aussi éblouissant que le C.N.RS. Avec des « chercheurs en science sociale » dans tous ses placards,
par quels arguments auraient-ils enrichi le débat public?

Les esprits forts vont me répondre qu’on ne pourra jamais le savoir,
et pourtant, moi, je le sais:
Au frais d’un contribuable qui ne se portait déjà pas très fort,
ils auraient sillonné l’Allemagne de fond en comble pour faire des « enquêtes »,
comme disent aussi dans la police les enculeurs de mouches qui veulent justifier leurs notes de claque et de brasserie.

Ils auraient longuement interrogé de jeunes Allemands engagés dans la Wermart où la SS pour comprendre leurs souffrances et leurs espoirs, avant de revenir le teint rose, des dizaines de kilos de papier sous le bras et des portraits touchants de braves types cabossés par la vie, sympathiques en tête à tête, soucieux d‘élever leurs enfants et les sortir à la campagne le dimanche,
bref, autant de choses parfaitement inutiles pour saisir l’essence du Nazisme tout autant que la poussée teutone rendue inévitable depuis la réalisation de son unité et l’abandon de la politique capétienne.
Partant (de la), ils auraient doctement renvoyé dans leurs cordes tous ceux qui ont des velléités de penser leur temps par l’usage de l’histoire et de la philosophie en les sommant de mettre le nez sur le guidon,
auraient décrété que l’Allemagne avait besoin de reconnaissance et de main tendu,
et qu’eux seuls, grâce à leur « science », la connaissait, puisqu’ils avaient vu des Allemands.

Mais ils auraient poussé la jobardise plus loin:
avec leurs structures mentales d’employés aux écritures incapables de se départir de la religion des faits bruts et de saisir le fil rouge qui les relie entre eux, ils auraient placé la SS dans la catégorie des fantasmes,
puisque l’écrasante majorité de la population n’en a jamais fait parti,
et la poussée antisémite dans celle des blagues de poète , car de ce coté-là du Rhin comme ailleurs, presque tout le monde va du berceau jusqu’à la tombe sans toucher un seul cheveu de Youpin.
70 ans plus tard, alors que l’Europe suscite une fois de plus les appétits du clan mongol,
ils vont les voir un par un pour sentir leurs petits cœurs qui battent (où leurs petits culs qui bougent, pour certains d’entre eux, mais c’est une autre histoire), et nous abreuvent de portraits de braves gens qui cherchent du travail et qui seront tricolores jusqu‘au slip quand ils en auront trouvé,
pour en conclure qu’il n’y à rien a penser des synagogues qui se remettent gentiment à brûler, des petites vieilles qui baissent les yeux devant les bandes ethniques,
du bédouin Kadhafi qui nous promet la soumission, et surtout qu’il n’est pas souhaitable de chercher l’essence commune à cette avalanche de signes, de fléaux et de menaces.

Rechercher l’essence commune aux faits et gestes qui colorent une époque,
c’est pourtant la seule manière de la penser,
mais les imbéciles, les sociologues et les journalistes appellent ça « faire des amalgames »,
et se payent ainsi l’incroyable luxe de faire passer ceux qui voient un peu plus loin qu’eux pour des bourrins.

Il serait temps de leur dire qu’en effet, la plupart des soldats involontaires de cette fantastique invasion migratoire et Musulmane dont l’Europe est la proie sont au jour les jours des braves gens,
que nous le savons,
mais qu’il n’y a sur terre que des braves gens, puisque même les psychopathes,
les serial killer et les inspecteurs du travail ont des enfants qu’ils vont chercher à l’école et dont-ils soignent les grippes,
des voisins à qui ils disent bonjour et des mères sur la tombe desquelles ils pleurent…

Parce qu’il faut bien vivre.
Parce qu’entre deux pulsions qu’on laisse échapper, chacun est contraint de vivre en civilisé…
Mais surtout parce que l’appartenance au mal absolu ne réside pas tant dans la capacité où même la volonté de le faire soi-même mais dans la facilité avec la quelle on peut coucher dans son lit…

L’Allemagne toute entière n’a pas été Nazi parce que chacun à tuer son feuj,
mais parce que ceux qui leur détruisaient la gueule à coups de pelle étaient au milieu d’eux comme des poissons dans l’eau.

En vertu des mêmes raisons,
si tous les Musulmans d’Europe ne posent pas des bombes et voire même éprouvent un dégoût sincère devant les corps déchiquetés,
il n’en demeure pas moins que les terroristes islamiques se cacheront toujours bien mieux aux Tarteret, au milieu des « braves gens », que sur le plateau des Millevaches.

Un islamiste, ce n’est pas seulement celui qui tranche la gorge au dessinateur mécréant,
c’est aussi le « Musulman modéré »qui tout en condamnant la méthode, descendra ans la rue pour se plaindre d’être persécuté à coups de crayons,
mais jamais parce que dix bonnes sœurs ont été empalées en représailles.
Il y a de braves gens partout, tous les homme se valent, et tout ça, mais il convient d’en avoir rien à foutre.

Merci XP

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