Un article de chez Causeur (http://www.causeur.fr/deux-maries-ne-font-pas-deux-peres,10249), et cette phrase :
« On a bien sûr le droit d’être favorable au mariage gay. L’ennui, c’est qu’on ne puisse pas s’y opposer. »Mais on a encore le droit d’y réfléchir...
Déjà, le mariage « gay », ou redire quelqu’un, un groupe de personne ou une communauté a leur sexualité… hurler sa différence pour ne pas être stigmatise ?
Le mariage entre personne du même sexe donc…et la possibilité d’adoption qui suivra forcément (Vous verrez bien qu’elles seront les revendications des associations qui prétendent représenter les homos lors du débat bioéthique).
Regardons les revendications parfois agressives des associations homos de gauche, écoutons ce discours anti-politique ce libéralisme idéologique dominant depuis trente ans :
Le « c’est mon choix ».
Il s’agit bien de substituer à la cellule familiale la monade de l’individu, seulement voila, les choix individuels ont des répercussions collectives.
Nous assistons à une « déconstruction » du couple et de la famille et la dissociation radicale de la sexualité et de la procréation, Plus prosaïquement découpler (c’est le cas de le dire) sexualité et procréation, biologiquement, voir naturellement impossible aux couples de même sexe.
Il s’agira donc pour les « homos » à travers le mariage de faire reconnaître leur « droit à l’enfant », et avec lui un basculement vers la normalisation de la procréation artificielle…
En normalisant le recours aux fécondations artificielles, on normalisera le recours aux diagnostics pré implantatoires, et donc le risque d’avoir pour conséquence l’exacerbation des tendances eugénistes.
Est-ce que l’abandon sur le plan institutionnel et sociétal, du principe de la différence sexuelle pour la fabrication du vivant peut se faire sans dommage ?
La ou les homosexuelle doivent avoir les même « droits » que les hétéros, est-il normal, pardon, démocratique, qu’un des fondements majeurs de l’humanité, (sexualité et procréation) soit détruit pour accommoder les revendications une minorité ?
Nous entrons dans le « meilleur des mondes », c’est la boite de Pandore que l’on ouvre…
La question n'est donc pas pour ou contre le « mariage gay », question piège a laquelle il n'est pas politiquement correct de répondre par la négative, mais plutôt quelles conséquences sur notre société auront les revendications des couples de même sexe.
« On a bien sûr le droit d’être favorable au mariage gay. L’ennui, c’est qu’on ne puisse pas s’y opposer. »Mais on a encore le droit d’y réfléchir...
Déjà, le mariage « gay », ou redire quelqu’un, un groupe de personne ou une communauté a leur sexualité… hurler sa différence pour ne pas être stigmatise ?
Le mariage entre personne du même sexe donc…et la possibilité d’adoption qui suivra forcément (Vous verrez bien qu’elles seront les revendications des associations qui prétendent représenter les homos lors du débat bioéthique).
Regardons les revendications parfois agressives des associations homos de gauche, écoutons ce discours anti-politique ce libéralisme idéologique dominant depuis trente ans :
Le « c’est mon choix ».
Il s’agit bien de substituer à la cellule familiale la monade de l’individu, seulement voila, les choix individuels ont des répercussions collectives.
Nous assistons à une « déconstruction » du couple et de la famille et la dissociation radicale de la sexualité et de la procréation, Plus prosaïquement découpler (c’est le cas de le dire) sexualité et procréation, biologiquement, voir naturellement impossible aux couples de même sexe.
Il s’agira donc pour les « homos » à travers le mariage de faire reconnaître leur « droit à l’enfant », et avec lui un basculement vers la normalisation de la procréation artificielle…
En normalisant le recours aux fécondations artificielles, on normalisera le recours aux diagnostics pré implantatoires, et donc le risque d’avoir pour conséquence l’exacerbation des tendances eugénistes.
Est-ce que l’abandon sur le plan institutionnel et sociétal, du principe de la différence sexuelle pour la fabrication du vivant peut se faire sans dommage ?
La ou les homosexuelle doivent avoir les même « droits » que les hétéros, est-il normal, pardon, démocratique, qu’un des fondements majeurs de l’humanité, (sexualité et procréation) soit détruit pour accommoder les revendications une minorité ?
Nous entrons dans le « meilleur des mondes », c’est la boite de Pandore que l’on ouvre…
La question n'est donc pas pour ou contre le « mariage gay », question piège a laquelle il n'est pas politiquement correct de répondre par la négative, mais plutôt quelles conséquences sur notre société auront les revendications des couples de même sexe.
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